top of page
-
Quels sont vos domaines de spécialisation ?Mes trois domaines de spécialisation sont les suivants : ➡️ LA TRADUCTION MARKETING J’aime énormément le contenu marketing car il implique de faire plus que de la traduction pure. En effet, il nécessite de se montrer extrêmement créatif et, surtout, de ne pas calquer le texte source. C’est parfait pour moi, car je n’hésite jamais à m’éloigner de l’original pour produire des traductions naturelles et adaptées à la culture cible. Rien de pire que du mot à mot peu élégant ! ➡️ LA TRADUCTION TECHNIQUE Au début de ma carrière, j’ai été recrutée par une entreprise afin d’effectuer, en interne, des traductions et des relectures pour un client majeur spécialisé dans les appareils électroniques, les ordinateurs et le développement de diverses applications. J’ai progressivement commencé à travailler sur d’autres comptes similaires, ce qui m’a permis de développer une expérience solide en traduisant des articles d’assistance, des articles de blog, des ressources de formation et des manuels d’utilisation en grand nombre. ➡️ LA TRADUCTION LITTÉRAIRE Très grande lectrice depuis toujours, j’ai traduit mon premier livre pour enfants en 2021. En 2022, la traduction d’un recueil de 21 articles rédigés par divers auteurs* m’a ouvert les portes du monde de la littérature universitaire. Grâce à la traduction littéraire, j’ai la possibilité de vivre ma passion à la fois pour la traduction et la littérature, et je suis convaincue qu’il s’agit de la combinaison idéale pour obtenir un texte cible de qualité. * Des informations supplémentaires à ce sujet sont disponibles ici.
-
Fournissez-vous des services de post-édition ?Non. Je ne corrige pas de traductions réalisées par des moteurs automatiques et milite, d’ailleurs, contre l’emploi abusif et non contrôlé de telles technologies. Certains estimeront que ma stratégie est risquée, mais je ne crois pas que la traduction automatique soit synonyme de qualité et je refuse de soutenir cette pratique néfaste. Sur Internet et hélas, également dans la vie réelle, nous sommes trop souvent en présence de contenu ayant été très mal traduit automatiquement. C’est un manque de respect absolu à l’égard des utilisateurs, en plus de porter sérieusement atteinte à votre marque et à votre image. Il existe des clients qui attachent de l’importante à la traduction humaine et au contenu idiomatique, et je suis ravie de collaborer avec de telles personnes !
-
Pouvez-vous traduire en français de Belgique et en français de Suisse ?Je considère que le français écrit présente deux variantes majeures : le français européen (qui englobe également les dialectes africains) et le français canadien. Selon moi, il n’existe pas de « français standard », de « français de Belgique » ou de « français de Suisse » dans ce contexte. Les différences se remarquent principalement à l’oral. La ponctuation peut légèrement différer entre les pays francophones européens, absolument, mais il suffit de maîtriser les règles ad hoc et de s’assurer de les prendre en compte pendant son travail. Un Suisse peut tout à fait traduire du contenu destiné au marché français, et un Français traduire du contenu destiné au marché suisse. Le pays d’origine ne doit PAS être considéré comme un facteur décisif lorsque vous sélectionnez un traducteur ou une traductrice.
-
Pouvez-vous traduire du français vers l’anglais ou le portugais ?Certes, je parle couramment anglais, et pratique le portugais activement depuis plus d’une décennie. Cependant, il existera toujours de légères nuances que seul un locuteur natif maîtrisera. Comme je ne suis pas une locutrice native de l’anglais ou du portugais, je ne traduis donc jamais vers ces langues. Certains traducteurs proposent les deux combinaisons (anglais et/ou portugais vers français, et français vers anglais et/ou portugais). Ce n’est pas mon cas. Selon moi, vous pouvez brillamment maîtriser d’autres langues, mais jamais aussi bien que votre langue maternelle. Et vous avez une langue maternelle, pas plusieurs...
-
Pouvez-vous partager d’anciennes traductions avec moi ?Les traducteurs indépendants signent ce que l’on appelle un « accord de non-divulgation » avec chacun de leurs clients. Par conséquent, ils ne sont pas autorisés à partager, avec des tiers, le contenu qu’ils traduisent, sauf si ces mêmes clients ont expressément donné leur accord. Si vous souhaitez consulter des exemples de mes traductions passées, je peux demander cette autorisation à mes clients, mais cela est susceptible de prendre du temps. La meilleure solution (et probablement la plus rapide) consiste à me demander de réaliser un test de traduction. Cependant, des conditions s’appliqueront dans cette situation (voir la question Pouvez-vous réaliser un test de traduction ? ci-dessous).
-
Pouvez-vous m’envoyer votre CV ?Bien sûr, je peux le faire. Toutefois, de plus en plus de traducteurs indépendants disposent d’un profil LinkedIn et, parfois, de leur propre site web. Sur ces derniers, leur expertise et leur expérience sont décrites de façon bien plus détaillée. En effet, un CV constitue un document condensé à l’extrême, qui ne fait que survoler votre parcours et vos compétences. Un profil LinkedIn ou un site web, par contre, peut également inclure d’autres informations, comme des publications sur divers sujets liés à notre profession. Comme je possède un profil LinkedIn (accessible ici) et un site web, je vous encourage donc plutôt à consulter ceux-ci.
-
Pouvez-vous réaliser un test de traduction ?J’accepte de réaliser des tests de traduction à condition que certains critères soient remplis. Tout d’abord, si vous me demandez d’effectuer un test de traduction gratuitement, celui-ci ne devra pas dépasser 300 mots. Je demanderai à être rétribuée pour les tests excédant cette longueur. Pourquoi ? Car n’importe quel travail mérite paiement, particulièrement lorsque sa réalisation implique de ne pas pouvoir honorer les demandes de mes autres clients (et, potentiellement, de ne pas remporter de nouvelles missions). D’autre part, le délai de livraison doit être raisonnable. Je ne demande évidemment pas que l’on m’accorde deux semaines pour livrer un test, mais je dois disposer de temps suffisant pour effectuer un travail de qualité, d’autant plus qu’il s’agira de mon premier projet pour vous. Si j’effectue un test de traduction, je veux le faire bien, sans le bâcler. Et cela ne veut absolument pas dire que je ne suis pas capable de gérer des délais serrés. Bien au contraire.
-
Pouvez-vous fournir des références ?Oui. Si vous le souhaitez, vous pouvez contacter l’un de mes anciens collègues ou les chefs de projet avec lesquels je collabore régulièrement. Il vous suffit de me faire part de votre demande, et je vous fournirai les coordonnées nécessaires.
-
Quels sont vos tarifs ?Je n’indique pas mes tarifs sur mon site web, car ils varient en fonction du type de contenu, des tâches à effectuer et de l’urgence éventuelle du projet, notamment. Je vous invite donc à discuter de ce point directement avec moi. Cela étant dit, j’applique un tarif minimal qui n’est pas négociable. Dans le secteur de la traduction, les tarifs extrêmement bas sont de plus en plus fréquents, or les traducteurs méritent d’être payés décemment. Et n’oubliez pas une chose : moins vous payez, moins vous pouvez vous attendre à de la qualité...
-
Quel volume quotidien pouvez-vous prendre en charge ?Le volume que je peux prendre en charge au quotidien n’est pas fixe. Pourquoi ? Car il augmente ou diminue, d’un jour à l’autre, en fonction de plusieurs facteurs. ➡️ Le contenu Plus un texte source est spécialisé et complexe, plus je devrais consacrer du temps aux recherches, ce qui peut avoir une incidence sur le nombre de mots traduits. ➡️ La manière dont j’organise ma journée Si votre projet est urgent, je peux adapter mon emploi du temps en fonction (par exemple, en commençant plus tôt ou en terminant plus tard). Ceci peut me permettre de traduire davantage de mots qu’au cours d’une journée de travail plus « classique ». ➡️ Les caractéristiques d’un projet Y a-t-il plusieurs fichiers à ouvrir, ou à consulter pour référence ? Vous pouvez penser qu’il s’agit de détails mineurs, or ces points influent également sur la durée totale passée sur une traduction et, par conséquent, sur la quantité de mots traités.
-
Travaillez-vous pendant les jours fériés et les week-ends ?Quel que soit le moment de la semaine (week-end inclus), je suis disponible si vous avez besoin de mes services. Cela dit, ne vous méprenez pas non plus : j’arrête de travailler à certains moments et je ne réponds pas aux e-mails pendant la nuit. Néanmoins, et sauf si je suis en vacances (auquel cas vous je vous l’indiquerais le plus tôt possible), vous pouvez me contacter pour discuter de vos projets. Par ailleurs, comme la majorité de mes clients ne sont pas basés en France, il n’est pas inhabituel pour moi de travailler le 14 juillet ou pendant d’autres jours fériés français (à l’exception du 24 et du 25 décembre).
-
Quels sont vos horaires de travail ?Je suis une traductrice flexible, qui ne travaille pas nécessairement cinq jours par semaine et huit heures par jour. Ce qui m’importe avant tout, c’est d’organiser mon temps de manière à pouvoir effectuer mes traductions dans les meilleures conditions afin de vous garantir une livraison de qualité. Et pas de débiter des traductions littérales pour gagner le plus d’argent possible ! Ma journée commence généralement à huit heures, mais c’est au final le nombre de projets à traiter, ainsi que mes engagements pour la journée et la semaine, qui dictent réellement mes heures de travail. Dans tous les cas, quel que soit le moment auquel j’allume et éteins mon ordinateur, je respecterai vos délais. Je n’accepte jamais une mission si mes disponibilités ne me permettent pas d’effectuer un travail optimal. C’est une simple question d’éthique.
-
Appliquez-vous une majoration en cas de contenu urgent ?Cela dépend. Vous me demandez de traduire (et relire, ne l’oublions pas) 4 000 mots en l’espace de 24 heures, sans possibilité d’allonger le délai ? Il est alors possible que j’applique une majoration. Même si le volume que je traite au quotidien n’est pas fixe, je peux être amenée à revoir mes conditions de paiement lorsque vos exigences le justifient. Pour vous aider, je m’adapterai toujours avec plaisir, et travaillerai plus longtemps si nécessaire, mais cela devra être rétribué équitablement dans certaines circonstances.
bottom of page